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Agriculture Online Open discussion
voici les premiers pas vers une discussion collective ouverte enagée le 17/08/15

Agriculture Online Open discussion

Suite à la proposition dans le groupe facebook "Biomimicry Open Lab" , voici les premiers pas vers une discussion collective ouverte.

_ Pourquoi online ?_

_ Car nous sommes dispersés de Bruxelles à Marseille en passant par Paris, Rennes, Saint Brieuc ou plus loin encore. _

_ _

_ Problèmes de santé, de territoires, d'alimentation, d'agriculture, de désastre social... il y a tant à faire!_

_ Faisons ce que nous faisons si bien, mettons nous en marche et en diversité pour résoudre des challenges._

_ Chacun venant avec ses raisons, ses racines, ses expériences..._

  • Afin de gagner du temps au moment des échanges online, merci de compléter rapidement les 2 paries suivantes:
  • Inscrits à l'event

    Prénom Nom Adresse Mail Téléphone
    Marlène Blaise blaisemarlene@gmail.com 06 98 71 37 92
    Judith Meyer j.meyer@mailistec.fr 06 18 96 37 61
    Xavier Coadic
    Scarlett Rico-Prince
    Alexandre Solacolu
    Oriane Marignier oriane.marignier@yahoo.fr

    **Présentation **

    Ci dessous, avec votre Prénom et votre nom, quelques lignes sur:

    Qui êtes vous, que faites vous dans la vie, pourquoi les problèmes liés à l'agriculture vous intéressent, Si vous menés déjà des actions sur ces sujets et pourquoi vous êtes vous inscrit à cette discussion.

    MERCI 👍

  • Oriane Marignier
  • Etudiante en chimie et procédés chimiques à Grenoble, j'attaque à la rentrée un master 2 en bioprocédés et développement durable. Ayant une éducation écologique, ma façon de vivre l’intègre le plu possible. Comme de nombreuses personnes, j'ai conscience des problèmes qui nous entourent (plastiques, pollutions, surexploitation des ressources) et j'essaie par mes connaissances et mes recherches d'utiliser ou de créer des moyens innovants pour faire changer les choses (au moins dans mon petit monde). L'agroalimentaire est un domaine qui doit être amélioré d'un point de vue écologique mais c'est aussi un sujet qui me passionne et dont j'adore parler. :)

  • Scarlett Rico-Prince
  • Anthropologue et diplômée d'un Master en Géographie - _Expertise des territoires, concertation et communication en environnement (ECCE) _à l'université Paris 8 , je viens de m'installer récemment sur Rennes. J'ai eu la chance de voyager tout le temps , cela m'a permis d’acquérir une connaissance sur certaines pratiques associés aux activités agricoles (le savoir-faire liée à la terre, les modes de consommation (local et multi-local ), l'impact environnemental, la gestion et l’exploitation de ressources naturelles , la transformation des espaces agricoles, la pollution et les nouvelles technologies - inclus le marketing agricole) .

    Nous vivons en constant défi, d'abord 'Comment survivre et se nourrir en diminuant notre empreinte écologique? ".

  • Marlène Blaise, blaisemarlene@gmail.com 06 98 71 37 92
  • 22 ans, Saint-Loise d'origine, Rennaise pendant 2 ans, Nantaise par intermittence depuis 2012 (6 mois à Paris, 5 mois à Munich), étudiante à Audencia Nantes école de management, co fondatrice de WE DO GOOD (www.wedogood.co) , membre de Disco Soupe et particulièrement membre "historique" (aha) de disco soupe Nantes, membre active de MakeSense, intéressée par l'éducation, la nature, le changement, le potentiel, le Beau. La famille de ma mère est agricole (ses parents, maintenant son frère, mais aussi ma tante maraichère bio, une autre ayant une ferme et faisant des oeufs et madeleines bio), je m'intéresse pas mal à la nourriture, un des "symptomes" de notre relation à la nature. Intéressée depuis un peu plus d'un an aussi par les crudivores, les vegans, végétaliens, végétariens, ou encore les êtres praniques, intéressée par l'agrictulture urbaine, le partage et la convivialité à travers les incroyables comestibles, les récup sauvages, et intéressée par les Bourguignons, kokopelli, les femmes semancières ... BREF il y a tant à faire ^^ Je viens pour voir à quoi je pourrai servir :)

  • Judith Meyer
  • 25 ans, de Paris. J'ai terminé un Master 2 de commerce (spécialité marketing et développement durable) et fais une formation au CEEBIOS (Centre Européen d'Excellence au Biomimétisme) pour y être initiée. Je travaille actuellement avec Le Biome et dans une association qui s'appelle SOLAAL, qui facilite le don alimentaire. Je suis donc plongée dans les problématiques agricoles toute la journée.

    Comme Marlène je suis très intéressée par les modes de vie qui se développent (vegan, végétaliens, végétariens, etc) et sans en arriver au Prana, savoir comment on pourrait améliorer nos systèmes de production agricole et animaliers dans une dimension internationale. Trouver un équilibre entre bien-être humain et terrestre, permettre de nourrir 9 milliards d'humains dès demain, tout en s'appuyant sur les innovations de la nature.

  • Xavier Coadic
  • Biologiste, co-fondateur du Biome, consultant en économie circulaire. Toujours sensible aux problématiques environnementales, originaire du centre Bretagne et affligé de voir les problèmes liés à agriculture et les agriculteurs en souffrance. Ayant vécu à Marseille, je suis également sensibles à la pression immobilière sur les terres agricoles. Je suis très passionné par le rapport d'interface Terre / Mer .

    Depuis trois ans j'ai mené des interview d’agriculteurs sur le grand ouest français, accompagné bénévolement des exploitations vers une transition de modèle, travaillé à la ferme, effectué des campagnes de biohackers sur l'antibio résistance des sols près des usines d'élevages.

    Je suis là car j'ai proposé via le groupe du Biome que nous discutions sur ce vaste de l'agriculture qui nous touche toutes et tous.

    Alexandre Solacolu

    Juriste en Droit maritime de formation (IUEM de Brest) Je suis en charge de la Commission Economie de la Mer en Baie de Saint Brieuc. Je fais partie également de la direction prospective de Saint Brieuc Agglomération, dans un profil plutôt orienté développement économique sur un territoire où l'agriculture (et l'agroalimentaire) est fortement présente.

    Je suis persuader de la nécessité d'un changement de paradigme quant à l'agriculture, tant dans sa fonction (nourrir l'humanité?) que dans son rapport à la planète.

    Échanges du 17/08 à 19h

    Présents : Oriane, Alexandre, Marlène, Scarlett, Xavier, Judith

    **> Contexte **

    Crise économique agricole - crise environnementale - mondialisation de la concurrence

    Pas de prise en compte du fond du problème

    > Présentation des personnes présentes

    > Problèmes en rapport avec l'agriculture & idées de solutions :

  • Scarlett:
    • Territoires urbains en expansion , croissance de la population dans les grands pôles urbains et la désertification des espaces ruraux .
    • La société de consommation face aux défis de l'agriculture familiale (ex différence campagne et zone urbaine).
    • Modifier notre façon de consommer -circuit court- Utiliser les jardins partagés ou la terrasse d'habitation pour produire des aliments en local et en autonomie avec une plus-value sur l'échange non monétaire. (cf les banques de temps).

    Commencerai par produire directement depuis sa terrasse, cibler les voisins/personnes intéressées et travailler en collectif puis au niveau du quartier

    • Problème pour agir: le temps, la disponibilité

    • Résultats : La création d'une database (pour géoréférencer les potagers urbains) . Les potagers urbains et collectives seront plus faciles à identifier sur une carte géographique.

  • Oriane:
    • En Europe, surproduction de matière et acheminent de produits depuis l'autre bout du monde
    • rejoint les idées de circuit court exposées par Scarlett , cf les AMAP ou ruche qui dit oui. Le système serait-il suffisant pour nourrir une métropole?

    Valoriser les producteurs ayant une approche enviro et sanitaire

    en tant que chimiste, pourrait se tourner vers les insectes, les algues

    • Note d'Alexandre: on mange déjà des tas de produits dont ne sait pas ce qu'il y a dedans, pourquoi être rebuté par les insectes ou les algues?
    • Les changements peuvent venir de l'aide des sciences Humaines et sociale pour accompagner les transitions de consommation

    Problème pour agir: argent, bio local coute cher, les appartements ne sont pas adapté pour un peu de culture DIY. Besoin de contact avec les collectivités pour initiatives

  • Alexandre:
    • Nourrir 9 milliards d'individus alors que l'on ultra spécialise la production pour tenter de résoudre à ce problème

    Les problèmes d'apports protéinés

    Sureté alimentaire ne doit pas occulté la qualité et la plaisir de l'alimentation

    Le poids porté par les agriculteurs de nourrir l'humanité

    Volonté de repenser le paradigme autour de l'apport de protéines

    • Faire une grosse réunion créative sur où on trouve la protéine et comment on la consomme
    • Qu'est ce qu'on mange pour se nourrir et qu'est ce qu’on mange par plaisir et rejoindre ces deux pistes pour développer des solutions efficientes

    Travailler sur la multiplicité des ressources

    Problème pour agir: le temps disponible et l'identification des personnes ressources et les mobiliser

  • Judith:
    • De plus manger de naturel, ajouts de pesticides, d'antibiotiques, rapport entre quantité et qualité. Volonté d'améliorer le système agricole

    Réduire les pesticides par l'utilisation d'espèces endémiques pour remplacer la chimie de synthèse. Comment expliquer et prouver le concept?

    • Pb pour agir: manque de temps, manque de légitimité, problème de l’aménagement urbain

  • Xavier:
    • Poids qui est porté par les agriculteurs, un agriculteur se suicide tous les 2 jours environ en France

    Il semble normal que ceux qui ont la charge de nous nourrir se retrouvent dans cette même problématique de se nourrir soi même.

    • Faire un tour des agriculteurs avec de ITW sur leurs problèmes et leur compréhension des solutions d’aujourd’hui
    • Trouver la bonne plateforme pour rendre les éléments disponibles et accessibles

  • Marlène:
    • gâchis alimentaire, qualité, quantité, pour quelles raisons ont mange tel ou tel autre aliment.

    Design et adaptions des solutions aux problèmes a

    Beaucoup de problèmes, de contextes => beaucoup de solutions, adapter, et ouvrir le champ des possibles

    • Participer au mouvement disco soupe, sensibilisation des enfants, un bac incroyables comestibles., reconnecter les personnes à la nature, le partage via des évènements publics et gratuits. Coupler ces initiatives avec des actions atour des graines. Foodsharing importer ce concept allemand en France.
    • Problème pour agir: disponibilité et accès à l’information et aux connaissances

    >Solutions à apporter sur notre lieu de vie:

    Scarlett: échanges avec les voisins pour réduire le gâchis, pas besoin d'aller acheter. Consommer local mais surtout échanger, sans avoir forcement besoin d'argent. Créer des structures pour superviser et apprendre aux autres. Commencer à petite échelle et ensuite étendre l'idée dans le quartier (prendre l'initiative de commencer par un bâtiment, puis dans le quartier plus largement). Cette initiative aura comme résultat "La création d'une database pour géoréférencer et localiser les potagers urbains".

    Pas beaucoup d'entreprises qui travaillent sur la biotechnologie alimentaire

    Solution d'ores et déjà existantes**: shamengo.com **

    Oriane:

    circuits courts, magasins bios, AMAP. N'est pas convaincue que le local puisse répondre à la demande globale. Valoriser les producteurs qui utilisent des circuits courts et réduisent les pesticides. En tant que chimiste, voir de nouvelles solutions comme les insectes et les algues. Ex : produits enrichis en protéines. Mais pas sûr qu'au niveau de la conscience collective il soit facile de manger des insectes par exemple.

    Complément post-échange (25/08):

      1. Solutions à l'échelle du consommateur

    Les supermarchés sont une facilité pour se fournir en produit frais. On se rend vite compte que la fraicheur est une notion relative en grand magasin. Il faut donc privilégier les marchés et boucherie. On peut aussi se tourner vers les coopérative fermière. Ces dernières sont,en général, en dehors de la ville donc difficile d'accès.

    Les magasins bio semblent être la solution puisqu'on suppose obtenir des produits sans pesticides et "élevés au soleil en plein air". On remarque effectivement une amélioration par rapport au légume habituels avec une "légère" augmentation du prix (ma dernière trouvaille: tomate à 10 euros le kilo). Il faut aussi se méfier de l'origine des produits (un produit bio qui vient de l'autre côté du pays perds un peu de son sens non ?). Pour avoir tester quelques enseignes, Satoriz est un supermarché bio qui a du succès et qui grâce à cela permets d'obtenir des produits en concurrence avec les grandes surfaces habituels.

    Il existe aussi les système de paniers que l'on peut récupérer toutes les deux semaines (ex: ruche qui dit oui).

    Ma solution est de boycotter les grandes chaines pour ce qui est de produits frais et de me fournir au maximum au marché. Évidemment, le marché est relativement difficile d'accès (en matinée donc pas possible la semaine et parfois impossibilité d'y aller le week-end)

    L'idéal serait de créer une sorte de supermarché approvisionné par les personnes qui sont d'habitudes au marché avec plusieurs espaces dédiés (boulangerie, laiterie,légumes, viandes, etc.) où les vendeurs du marché s'occuperait de la vente à tour de rôle sur une journée.

      1. Alimentation alternative

    En ce qui concerne les solutions futuristes, tels que les biotech alimentaire et les nouvelles alimentations (ex:insectes). Ces produits permettent de créer des aliments ultra-nutritifs. La solution la plus exploitée en ce moment sont les insectes (Ynsect, Micronutris, Nextalim). Pour l'instant, le plaisir de se nourrir est laisser largement de côté. Les premiers produits à base d'insectes sont des apéros qui sont passablement mauvais et qui cherche à cacher le goût des insectes. Un restaurant à Paris à pu obtenir une autorisation pour en vendre mais la législation reste le plus gros frein pour les autres.

    Les biotechnologie alimentaire n'existent pas, à ma connaissance, en France pour se nourrir. Les biotechnologies sont pour l'instant étudier comme alternative aux systèmes de productions qui utilisent de l'électricité et des produits chimiques.

    Alexandre: On ne connait pas les aliments qu'on mange aujourd'hui, est ce que les insectes seraient pires que ce qu'on mange aujourd'hui?

    La multiplicité des modèles est surement une des réponses, car elle s'adapte aux problématiques locales. D'où pourrait-on prendre des apports protéinés? Sous quelle forme ? Quelle qualité? Qu'est e qu'on mange pour se nourrir et qu'est ce qu'on mange pour se faire plaisir?

    Quelles sont les formes de production et de consommation pérennes ?

    "Biodiversité alimentaire"

    Peut-on imaginer des kits individuels permettant de faire des "faux steack" ?

    choper des leaders "intellectuels" et les ouvrir à l'innovation

    Judith: Réveiller les consciences, via des preuves de concepts par exemple, ou autre.

    En faisant face aux mastodontes tels que Monsanto via des expérimentations, mais aussi en les contraignant à respecter une certaine éthique.

    Xavier: A t'on le recul nécessaire pour savoir ce qui est bon ou pas via le biotech? Fournir un kit dans chaque maison pour produire de la protéine de synthèse (bio steak DIY), mais jouer avec le vivant => ?

    Biotech : connaissance et capacité techniques là, mais émergent comme le nucléaire à ses balbutiements

    Judith MIl ne faut pas breveter les graines et le vivant. il y a donc des organisations qui mettent à disposition des graines qui ne sont pas encore brevetées (ex : pommes de terre et haricots). l'objectif est que la quantité de production atteinte dépasse la quantité de graines brevetées.

    Détresse sociale : fablab, biotechnologie, biomimétisme : incompréhension des agriculteurs. Il faudrait travailler avec eux, faire des interview et les rendre accessibles en leur demandant leurs difficultés actuelles et comment ils souhaiteraient y faire face, et qui sont les personnes qui pourraient les aider à avancer.

    Marlène: pirater le système des graines?

    sensibiliser aux incohérences de notre système : gaspillage alimentaire au travers de Disco Soupe par exemple (lutte contre le gaspillage alimentaire avec des produits "moches" et destinés à être détruits) ou Incroyables comestibles. Prendre des graines, via kokopelli ?

    Foodsharing

    ** Qu'est ce qui nous empêche de passer à l'action?**

    Scarlett: problème de temps

    Oriane: problème d'argent, problème de localité (pas de jardin ou d'espace vert)

    Mauvaise connaissance du monde agricole, pas de contacts

    Alexandre: problème de temps. étapes : identifier quelles sont les sources de production et d'alimentation. réunir des profils différents pour faire émerger des réflexions nouvelles

    Acteurs traditionnels n'ont pas trouvé de solutions voire meme au contraire, et chercher des solutions avec les ressources existantes. Faire participer tous les acteurs

    Judith: problème de temps, de légitimité face aux acteurs, possibilité de cultiver sur les toits (// pollution)

    Marlène: indisponibilité des informations, nécessite une motivation supplémentaire, manque de connaissances

    Qu'attendre du prochain rendez-vous / passage à l'action?

    Marlène: donner ses avancements, exposer ses solutions et échanger dessus.

    Avancées 27/08 : on regarde pour foodsharing, mais ça avance lentement. On demande aux épiceries etc. Les épiceries bio ont peu de déchets, (et on avait envie de déchets bons ^^) donc à voir. Nantes Ville Comestible commence bientôt. On essaie de faire pousser des trucs dans le jardin.

    (toolkit pour organiser sa disco soupe : )http://discosoupe.org/toolkit/)

    Oriane : continuer les conversations, les problématiques de l'agriculture. Exemple de site de lutte contre les pesticides : Shamengo

    Judith : continuer les échanges également

    Alexandre : mettre en relation, organiser une rencontre (à la paillasse)? Faire des propositions de sujets plus ciblés

    Scarlett : Identifier les personnes intéressées à ce projet d'agriculture urbaine et rédiger un plan d'action (Quoi, comment et quand) . Continuer les conversations avec vous , inviter à d'autres participants à rejoindre cette discussion.

    Xavier : (re)contacter les personnes qui souhaiteraient participer. Passer à l'action

    Entraide et coup de pouces

    Inscrivez ici en face de chaque de prénom les coup de pouces, bon plan, coup de mains que vous pouvez donner à chaque participant pour passer à l'action.

    Alexandre:

    • Nous avons un méthodo et un workshop pour tacler comment loger 9 milliards d'être humains sans abimer la planète. ON peut l'adapter à la nourriture "Comment nourrir 9 milliards..." Et le faire à St Brieuc?

    Oriane

    • On peut t'aider à trouver des contacts à Montpellier et même peut un "carré vert" pour culture en milieu urbain ou péri urbain?
    • Oui pour les contacts, on peut trouver, à voir ce qui te correspond le plus pour commencer petit pas par petit pas :)

    Scarlett

    • On peut monter un e équipe de 3 à 4 personnes pour t'aider à démarrer le jardin partagé.

    Judith

    Marlène

    • Un 1er event sur Nantes ou sur Rennes avec sensibilisation sur le gaspillage, information sur les graines, et atelier d'accès aux informations?

    Xavier